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Selon la société
Images de la société sur les jeux vidéos :

 

 

Les jeux vidéo regroupent différents avantages et inconvénients. Depuis l'apparition des jeux vidéos jusqu'à maintenant, la société a toujours eu une image négative en ce qui concerne l'univers du jeu video, et l'a donc toujours dénigré. En effet, les jeux de guerre et de combat, avec présence de sang ainsi que certaines scènes violentes, sont très controversés. Certes, il ne faut pas mettre ce type de jeux à la portée d'un enfant, mais ce n'est pas parce que quelqu'un joue aux FPS (Fisrt Person Shooter, qui se traduit en fançais par tir à la première personne) ou encore aux jeux de combat que cela va le rendre violent pour autant. Les personnes qui deviennent violentes dans la vie réelle par le biais des jeux vidéos, sont très minoritaires et avaient déjà des problèmes de violence ou des problèmes psychologiques avant d'y avoir joué, ils présentent un déséquilibre mental. Bien sûr les médias se servent de cette image pour appuyer encore plus la "négativité" du jeu vidéo. 

 

Evidemment, les jeux vidéos peuvent rendre violent surtout lorsqu'ils sont donnés à des enfants qui n'ont pas l'âge pour y jouer, par exemple GTA V qui est un jeu conseillé au plus de 18 ans est très souvent donné à des enfants autour de 10 ans et ils ne représentent pas une minorité des joueurs de ce jeu.

 

 

La vue

Exposer les yeux trop longtemps devant un écran est mauvais pour l'iris et peut entraîner une baisse de la vue. L'œil humain n'est pas conçu pour regarder à une distance fixe sur une durée prolongée. L'effet de fatigue est encore plus prononcé si la pièce est mal éclairée et que l'écran est la seule source de lumière. Il vaut donc mieux faire des pauses toutes les 1 ou 2 heures et regarder à d'autres distances pour que l'œil ne reste pas trop longtemps fixé à une même distance.

Récemment il y a eu l'apparition des jeux en 3D apportant un facteur de risque supplémentaire. Comme tout dispositif 3D, ces jeux nécessitent un temps de réadaptation pour repasser à une vision normale. Durant ce laps de temps,  l'évaluation des distances peut être faussée, en particulier pour les plus jeunes chez qui la vision n'est pas encore parfaitement développée. Cet effet est heureusement court, pendant ce laps de temps il vaut mieux éviter de courir ou de faire des mouvements rapides, brusques.

 

 

L'obésité, le sommeil 

Les jeux vidéo sont également un facteur d'obésité. Ils prennent en effet du temps sur d'autres activités comme le sport et induisent ainsi un manque d'exercices physiques. La pratique de jeux vidéo s'accompagne souvent de grignotages, déréglant ainsi les bonnes habitudes alimentaires. Parfois même, le temps de jeu prend le pas sur les nuits des joueurs, ce qui perturbe l'horloge biologique interne et peut  provoquer des troubles du sommeil.

 

 

Blessures physiques 

Avec les sorties des dernières générations de consoles, comme la Wii en 2006, le dispositif Kinect en sortie en 2010 sur Xbox ou encore le Playstation Move sortie également en 2010, les risques d'obésité ont laissé place au risque de blessures physiques. Au contraire, on met à présent en garde contre une suractivité en jouant, en particulier pour les jeux où l'on doit imiter différents gestes sportifs. Gestes suffisamment intenses pour provoquer des courbatures ou des douleurs articulaires selon l'âge. Les manettes projetées sont  à l'origine de quelques bleus et téléviseurs brisés.

Si ces projections de manettes peuvent faire rire, elles peuvent néanmoins provoquer de graves blessures. Mais bien avant ce problème de manettes volantes les joueurs se plaignaient déjà de douleurs dans les mains et au niveau des doigts, liés à la mauvaise ergonomie des manettes.

 

 

Source :

 

http://www.huffingtonpost.fr/carolyn-gregoire/impact-sommeil-au-travail_b_3344571.html

http://www.webzeen.fr/tutoriaux/tuto-comment-synchroniser-une-manette-nintendo-wii/6582

Inconvénients

Addiction

L'addiction aux jeux vidéo est l'un des phénomènes les plus controversés.

Ce phénomène prend ses sources lors du débat ayant eu lieu en 2002 lorsque l'hôpital Marmottan à Paris, spécialisé dans les addictions, ouvre un nouveau service destiné aux personnes dépendantes aux jeux vidéo. Quatre ans plus tard, en mars, un colloque permet de communiquer les observations sur les différents patients. Les experts  disent que comme pour toute autre forme d'addiction, il faut distinguer les responsabilités de la victime et son environnement. Ainsi, ils présentent différentes situations de victimes dans cette nouvelle forme d'addiction.

 

Au début, de nombreux cas de séparations "parentales" sont apparus à partir d'un conflit entre l'enfant et son père et/ou sa mère. D'autres cas sont cependant liés à des troubles psychotiques ou encore des phobies. Plus tard, nous nous sommes rendus compte que des difficultés scolaires, des déceptions amoureuses, ou encore la violence pouvaient également être à l’origine de tels troubles. Toutefois, nous distinguons quand même 2 grandes catégories de jeux vidéo pouvant mener à cette addiction : les RPG (Role Playing Games ou jeux de rôle) ainsi que les FPS (First Person Shooter ou jeux de tir à la première personne). Ces jeux seraient plutôt un manque à combler qu'une véritable drogue.

La dépendance aux jeux vidéo devient ainsi un sujet important sur des forums de santé, ou lors de conférences. Nous y aboutissons aux mêmes conclusions : ce n'est pas forcément risqué chez un jeune sans problèmes, et les jeux à caractères addictifs sont essentiellement des jeux en ligne. En effet, les joueurs se rassemblent entre eux, et se créent ainsi des obligations vis-à-vis des autres joueurs. De plus, l'univers évolue même lorsqu'ils sont déconnectés, ce qui peut se révéler frustrant chez certains d'entre eux ! Cependant, les experts donnent des conseils aux parents : établir des règles, accompagner son enfant dans son jeu, limiter le temps de jeu quotidien, etc.

 

 

Violence

Lors de l'apparition de la question de l’addiction au jeu vidéo, vers 2006, les suppositions selon lesquelles les jeux vidéo pourraient être à l’origine de comportements violents, commencent à apparaître. Des études menées par les docteurs Sonya Brady et Karen Matthews montrent que les joueurs de jeux violents présentent une augmentation de la pression sanguine, de moindres réactions face à l’évocation de la violence. D’autres experts affirment alors qu’encore une fois, les responsabilités ne peuvent pas être uniquement portées par les jeux vidéo, que les diaboliser n’apporterait aucune solution, et que, d’ailleurs, la violence n’y est pas plus présente que dans les films ou dans les livres.

 

Certains experts prônant les dangers du jeu vidéo répondent que l’on est acteur d’un jeu vidéo plus que d’un film ou d’un livre, et que c’est cet investissement qui peut être responsable de la manifestation, dans la vie réelle, d’une certaine forme d’agressivité chez les joueurs. D’une part, des joueurs fragiles pourraient être amenés à avoir une vision de la violence comme de quelque chose de normal et de courant dans la vie quotidienne. D’autre part, certains joueurs reproduiraient ce qu’ils voient dans les jeux vidéo, et même si ce n’est pas à la violence à laquelle pensent directement les psychologues, il pourrait s’agir d’un débordement possible.

 

Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, explique que la violence ne part pas des jeux vidéo, mais que ceux-ci peuvent favoriser la socialisation des jeunes dans de nombreux cas. La plupart des joueurs utiliseraient plutôt les jeux violents dans le but de faire certaines choses qu'ils ne pourraient pas faire dans la vie réelle. Ainsi les experts préfèrent informer les personnes plutôt que d'interdire purement et simplement les jeux violents. Ceci suscite une réaction en 2009 lorsque de grands magasins allemands décident d'interdire les jeux vidéo jugés trop violents (pour les 18 ans et plus d'après la PEGI), décision jugée non proportionnée et inutile.

 

Selon les experts de l'INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), les jeux sont de plus en plus violents, et les joueurs subissent une baisse de leurs facultés de compréhension, et une plus grande agressivité. Il y a également la part des jeunes joueurs qui préfèrent les jeux les plus violents car ils sont généralement plus développés et complets (exemple: GTA V).

Des études menées en 2011 montrent que la pratique régulière du jeu vidéo a un impact sur le cortex frontal des joueurs, zone qui gère, entre autres, l'agressivité, ce qui expliquerait l'apparition de comportements violents chez certains joueurs.

Les jeux de guerre et de combat, avec présence de sang ainsi que certaines scènes violentes, sont très controversées. Certes, il ne faut pas mettre ce type de jeux à la portée d'un enfant, mais ce n'est pas parce que quelqu'un joue aux FPS (First Person Shooter, qui se traduit en français par tir à la première personne) ou encore aux jeux de combat ne va pas forcément le rendre violent pour autant. Les personnes qui deviennent violentes par le biais des jeux vidéo sont très minoritaires et avaient déjà des problèmes de violence ou des problèmes psychologiques avant d'y avoir joué. Bien sur les médias se servent de cette image pour appuyer encore plus la "négativité" du jeu vidéo. 

 

Bien sur les jeux vidéo peuvent rendre violent surtout lorsqu'ils sont donnés à des enfants qui n'ont pas l'âge pour y jouer, par exemple GTA V qui est un jeu conseillé au plus de 18 ans est très souvent donné à des enfants autour de 10 ans et ils ne représentent pas une minorité des joueurs de ce jeu.

 

 

 

Sociabilité

Cet aspect du débat n’est examiné que par peu d’acteurs, et on distingue deux types de point de vue principalement.

Une première catégorie de personnes considère que certains joueurs n’ont aucune vie sociale, et sont de véritables « no life ». Il arrive en effet que certains joueurs restent enfermés chez eux très longtemps, parfois en prenant à peine le temps de se restaurer ou de dormir. Même s’il s’agit en fait de cas extrêmement rares, les morts de ces joueurs à l’extrême ont fait beaucoup de bruit. Une connue : celle d’un joueur de Diablo III en mai 2012 après avoir joué 72 heures d’affilée, sa mort reste tout de même controversée car il aurait eu des problèmes de santés.

Cependant, notamment avec le développement des jeux de type MMORPG ( massively multiplayer online role playing game, traduit par : jeux de rôle massivement multijoueur en ligne ), une nouvelle tendance se dégage. Il est, de plus en plus, possible de jouer en multijoueur. Que ce soit en LAN ( Local Area Network traduis en français par réseau local ) ou sur Internet, avec des amis ou avec des inconnus, les joueurs ont l’opportunité de former de véritables communautés. Il arrive alors que ces communautés virtuelles se retrouver dans la vie réelle, pour des tournois, des évènements divers, ou tout simplement pour passer de bons moments ensemble. D’autre part, jouer aux jeux vidéo permet dans certains cas de s’intégrer à l’école par exemple, en parlant de ses exploits avec les autres, ou de jouer ensemble.

 

 

 

 

 

 

Sources:

http://ethique-tic.fr/2012/les_jeux_video_sont_ils_dangereux_pour_la_sante/debats.html

http://www.huffingtonpost.fr/2013/11/12/jeux-video-bienfaits-sante_n_4264120.html

wikipédia

http://www.scienceshumaines.com/les-jeux-video-sont-ils-bons-pour-le-cerveau_fr_15191.html

http://www.tasanteenunclic.org/cyberaddiction/addiction-aux-jeux-video/

Les effets des jeux vidéo sur le plan mental et social

D'après une neuroscientifique répondant au nom de Daphne Bavelier, les jeux vidéo permettraient aux joueurs réguliers de résoudre différents types de problèmes posés plus rapidement, tout en s'adaptant à la situation. Vu la rapidité de réaction demandée pour pouvoir avancer dans un jeu vidéo, comme ne pas tomber dans le fameux "Game Over". En y jouant beaucoup, les jeux vidéo sont donc un excellent moyen d'entraîner notre cerveau. Nous pourrons toujours trouver un type de jeu dans lequel nous nous épanouirons car le monde du jeu vidéo contient de multiples types d'univers, qu'ils soient fantaisistes ou réalistes ; nous pouvons donc y développer notre créativité au fil du temps, particulièrement chez les enfants ( dans la limite de leur donner des jeux de leur âge bien sûr ).

 

Une étude réalisée par l'université du Michigan sur 491 enfants âgés de 12 ans, a démontré que les enfants qui jouaient à des jeux vidéo étaient plus créatifs dans la réalisation d'activités comme le dessin ou l'écriture par rapport aux enfants qui ne jouaient pas à des jeux vidéo.

 

On dit souvent que rester trop près d'un écran est mauvais pour les yeux mais d'après une étude du Dr. Daphne Maurer, du laboratoire visuel de l'Université McMaster en Ontario les personnes souffrant de cataractes pouvaient améliorer leur vision en jouant à des jeux de tir (FPS) comme Battlefield ou Call of Duty. Car selon elle, ces jeux sont tellement rapides qu'ils nécessitent énormément d'attention, entraînant nos yeux à être plus réactifs, et donc plus performants.

 

 

 

Source : 

http://www.lapresse.ca/vivre/sante/enfants/201210/30/01-4588598-jeux-video-nos-enfants-y-perdent-ils.php

http://www.knowzzle.com/violent-games-can-heal-rare-eye-disorder-study/

 

Avantages

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